Plus d’infos à propos de plantes artificielles
Cultiver son jardin, accorder des plantes, admirer les fleurs, récolter et déguster ses légumes… engouement du jardinier qui, pour la première fois, se lance dans cette belle expédition doit être un peu canalisé. Les conseils de notre spécialiste afin d’éviter certaines erreurs récurrentes chez les « apprentis ». Les végétaux de moyenne rusticité ( mimosa, camélia, agapanthe, anisodontea, azara… ) sont réservés aux espaces vert de bord de l’eau et du midi. Ailleurs, surtout en climat continental, n’adoptez que des plantations très rustiques ( lilas, iris des jardins, pivoine, glycine… ). Les températures sont souvent différentes, dans un même département, en fonction de les zones. Le long du littoral, il peut y avoir jusque entre 5 et 8° de différence, durant l’hiver, entre une ville côtière et une ville à 50 km dans les terres. Le vent, l’humidité, les pluies plus ou moins fréquentes, tout influence sur les crudités. La haie, écrin du jardin, est la priorité ! Imaginez-la diverse, attractive, voire même gourmande, autant pour vous que pour les oiseaux et les papillons. Dans un premier temps, choisissez des crudités faciles à vivre ( hémérocalle, géranium vivace, chèvrefeuille, groseillier… ) : les petites raretés ( arisaema, cypripedium, bletilla… ), c’est pour après ! Si réelement vous tenez à une plante bijou, cultivez-la en pot.
En plus d’embellir notre commune, l’horticulture ornementale aide à l’amélioration de la qualité de la nature, à l’économie, au tourisme, sans oublier le confort et la forme des citoyens. La Fédération interdisciplinaire de l’horticulture ornementale du Québec ( FIHOQ ) nous rappelle que les agencements paysagers créent un cadre plus agréable pour vivre et travailler. Ils renforcent la sécurité publique et réduisent la criminalité et les accidents. la présence d’arbres et d’espaces verts dans un quartier commercial pratique une influence positive sur les attitudes des prospects. Dans une municipalité, les espaces communs sont plus utilisés lorsqu’il y a des arbres, des fleurs et du gazon. Pour les maisons unifamiliales, plus le pourcentage de couverture végétale est important, plus la valeur de la maison est forte. Les arbres et les plantations ornementales participent à l’amélioration de la qualité de l’air et de l’eau, abaissent la chaleur des surfaces pavées, limitent la pollution atmosphérique et améliorent la diversité biologique. Afin de vous faciliter la vie et d’augmenter votre satisfaction à jardiner, voici quelques conseils à appliquer. La pratique du jardinage est définie comme une activité physique douce, mais efficace. Il est démontré que 30 minutes de jardin équivalent à 30 minutes de marche. Évaluez le temps dont vous disposez et adaptez vos projets à vos disponibilités.
L’horticulture est bénéfique pour la forme. Le constat est intuitif et la preuve scientifique réalisée. Nous en avons tous fait l’expérience, que ce soit plus ou moins consciemment. L’effet intéressant le plus évident est l’impact concret sur notre physique. Le jardinage est une activité d’intensité faible à moyenne qui nous garde actifs, sans toutefois nous essouffler. Sa nature d’intensité faible nous permet de la pratiquer pendant de nombreuses minutes. Passer 2 heures à jardiner correspond à soumettre notre corps à une panoplie de mouvements et contorsions, et ce, en permanence. C’en est presque une séance de yoga ! Un autre effet éprouvé est le sentiment d’apaisement pendant et après votre activité horticole. Pour qui livrent une bataille journalière au stress, il a été démontré que le jardinage contribue à d’estomper les hormones liées au stress et à entretenir le sentiment de bonne humeur plus rapidement et plus longtemps que la lecture de jeu. La planification du jardin fait appel à plusieurs process cognitifs en plus de stimuler notre créativité. La recherche de la bonne plante pour notre contexte ( sol, eau, ensoleillement, compagnonnage ) occupe notre esprit, tout comme ces mille et une petites attentions que nous avons quand nous entretenons nos plantations. D’associer autant de stimulations psychologiques à des déplacements physiques doux devient très soulageant pour les esprits surchargés. Si vous rêvez d’un jardin unique et original et que votre créativité paraît en hibernation, une petite sortie à la pépinière ou dans nos serres suffira pour vous inspirer.
Pour démarrer un potager on commence par déterminer sa position. La terre cultivée doit rester fertile, non polluée et l’exposition au soleil favorable pour la croissance de vos légumes et autres fleurs du potager ( aromatiques etc… ). Ce premier article vous donnera une première piste pour déterminer le bon emplacement ainsi que tous ce dont vous avez besoin de savoir pour préparer une parcelle de culture. Vous trouverez aussi un premier exemple de petit potager. N’hésitez pas à parcourir parallèlement ce lexique qui explique les à propos du jardinier. Le potager c’est aussi du désherbage, quoique nous évoquerons comment le limiter en cultivant des plantations que l’on nomme des engrais verts et en pratiquant le paillage ( ou mulching ). Dans le premier article dans les paragraphes suivants je présente différents outils dont l’excellente ratissoire provençale. Dans le deuxième je présente d’ailleurs après différentes méthodes de désherber mécaniquement, le paillage. C’est un point clé en jardinage bio, et pas seulement pour limiter le désherbage et pour préserver le sol de l’érosion, nourrir la faune etc…Semer ses pousses est une phase nécessaire lorsqu’on jardine. Aujourd’hui, il est très attirant obtenir des petits plants à repiquer directement en pots ou au potager. Mais c’est malheureusement se limiter à quelques variétés sélectionnées par les jardineries, pépiniéristes ou clients sur le marché. Le semis offre la possibilité d’accéder à un nombre très conséquent de variétés que vous ne obtiendrez pas, ou peu, sur les étals du marché et encore moins en supermarché. Il ne faut donc pas hésiter à semer, essayer, recommencer et découvrir notre belle biodiversité alimentaire ! C’est une chance que nous avons !
Si tout cela vous paraît un peu trop long ou difficile à créer, il est possible de réaliser un potager surélevé ( en carré ou sur buttes ). En procurant alors un mixe de terre adaptée, vous vous affranchissez des contraintes de la nature de votre sol. Pour les régions ventées, un mur de la maison ou une haie sont parfaits pour préserver vos légumes ; à défaut, anticipez d’installer en bordure du potager des groseilliers, des framboisiers, ou bien encore du romarin ou autre laurier-sauce qui feront un rempart gourmand fort agréable. Il est toutefois sage de ne pas oublier que, quelles que soient les astuces que l’on met en place pour remédier aux « imperfections » de la nature, il est toujours un plus d’essayer de s’adapter à son milieu ; un sol argileux conviendra plutôt aux betteraves, aux épinards, aux fèves ou aux poirées tandis qu’une terre à tendance sablonneuse verra s’épanouir asperges, pastèques, pommes de terre et autres scorsonères. Et si le persil ne suis pas d’accord les sols trop acides, l’oseille peut se detourner de ceux qui sont trop calcaires. enfin, si le soleil n’illumine qu’avec parcimonie votre potager, choisissez les laitues, les épinards, les cèleris, ou tout autre légume se sympathique à l’ombre ou à la mi-ombre. Faire son potager c’est accepter d’y consacrer un peu ( voire même plus ! ) de son temps. Pour ne pas le perdre et se retrouver submergé par une activitée qui vous dépasse, il est nécéssaire de bien dimensionner son projet avant de le débuter.
Selon la saison et la race, les fleurs n’ont pas besoin de la même quantité d’eau. En hiver, l’arrosage se doit d’être éloigné alors qu’en été, il faut le faire tous les jours, une fois la chaleur moins forte de préférence. pour savoir si votre plante a besoin d’être arrosée, il faut simplement l’observer. Le jardinage est une façon de communier avec ses plantes. Plus vous vous en occuperez, mieux elles se porteront. Pour les fleurs intérieures, la meilleure façon de les arroser est d’ôter le cache-pot et de les arroser directement dans l’évier. Attendez que l’excédent d’eau soit parti avant de remettre le cache récipient. Pour les extérieures, faites attention à ce que le terreau soit sec avant d’arroser à nouveau. Ajouter du paillis au pied de la plante lui permet de entretenir suffisamment d’eau. Si malgré toutes nos astuces pour arroser vos plantations elles sont mal en point, c’est que vous avez sûrement commis l’une de ces erreurs… fort heureusement, nous avons une astuce pour leur donner un coup de Peps. Pour pousser, les plantes ont besoin de substances alimentaires directement assimilables. Elles les puisent dans la terre. Il est donc particulièrement important de choisir le terreau en fonction de la race de la plante et de sa situation ( en pot, dans le potager, dans la terre… ). Le laurier-rose requiert un terreau riche alors que l’hortensia nécessite de la terre de bruyère.
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